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Communauté du Niger
Il semblerait que ces messieurs les grands illuminés détenteurs de la science infuse et définitive, les beaux moulins à vent et à paroles creuses indiscutables et apporteurs de solutions inoxydables se soient (une fois de plus) mis le doigt dans l'oeil jusqu'à la clavicule:
http://www.elwatan.com//actualite/le-ch ... 28_109.php
Début de citation:
Autoroute est-ouest
Le chantier de nouveau bloqué
Contrairement aux désirs des plus hautes autorités de voir enfin le tronçon Constantine-Annaba de l’autoroute Est-Ouest livré aux usagers, il semblerait que ce souhait ne sera pas réalisé de sitôt. Un conflit entre l’Etat algérien et le consortium japonais Cojaal a éclaté au grand jour au sujet du paiement de travaux supplémentaires réclamé par ce dernier.
Le tronçon Est de l’autoroute n’a pas été livré en mars conformément au désir de Abdelmalek Sellal et il ne le sera pas non plus prochainement. L’attente risque de durer compte tenu des contraintes financières qui refont surface et viennent se greffer sur les difficultés techniques rencontrées par le constructeur japonais, Cojaal. En visite à Constantine, le 17 février dernier, le Premier ministre avait déclaré, devant les caméras de la Télévision nationale, que le gouvernement algérien avait honoré toutes ses dettes envers le consortium.
Le problème de paiement invoqué par l’entreprise japonaise n’a plus lieu d’être et plus aucune excuse ne sera admise étant donné que l’Etat s’est engagé à régler les factures en instance dans un délai de 15 jours», a déclaré M. Sellal, faisant la promesse de veiller personnellement à ce paiement. Il avait d’ailleurs saisi l’occasion de sommer les responsables japonais, en présence de l’ambassadeur du Japon à Alger, Tsukasa Kawada, de livrer le tronçon constantinois (65 km) avant le 14 mars, «sinon vous risquez le hara-kiri», avait-il plaisanté. Mais la plaisanterie est peut-être algérienne, car à ce jour, l’argent promis n’a pas été versé, du moins pas en totalité, affirment les Japonais. La direction du consortium s’est réunie d’ailleurs dimanche avec les représentants des travailleurs algériens au siège, basé à Aïn Smara, pour discuter de l’avenir des travailleurs, désormais compromis par la situation de cessation de paiement de l’entreprise.
«La direction n’écarte pas l’opportunité de mettre les employés au chômage technique dans les prochains jours compte tenu de son incapacité à payer les salaires», a indiqué à El Watan Hocine Nakib, président du syndicat d’entreprise affilié à l’UGTA. Une perspective effrayante pour les 2500 employés algériens et quelque 500 expatriés. La grogne n’a pas attendu, d’ailleurs. Avant-hier, les sous-traitants liés par contrats avec Cojaal ont entamé un mouvement de protestation pour revendiquer le règlement de leurs factures non payées, depuis neuf mois pour certains, et ont menacé de geler les chantiers entre Didouche Mourad (Constantine) et El Harrouch (Skikda). Contrairement aux annonces officielles, le projet de l’autoroute s’enlise. Et n’en déplaise à Amar Ghoul, son département est incapable de tenir une promesse.
Quand M. Sellal avait haussé le ton, enjoignant les Japonais, avec assurance, de respecter les délais de réalisation, savait-il à quel point les services algériens étaient incapables de le faire ? Le ministère des Finances et celui des Travaux publics disent-ils toute la vérité au Premier ministre ? En tout cas, les Algériens ne croient plus aux promesses.
Le tronçon constantinois de cet ouvrage, qui connaît, dit-on, un taux d’avancement de 92%, enregistre un énorme retard à cause de la nature fragile du sol. Ce retard n’a pas manqué de perturber la relation entre le gouvernement et l’entreprise chargée de la réalisation.
80 mois et pas encore le bout du tunnel :
En septembre 2006, le gouvernement signe un ordre de service (ODS) au profit du consortium japonais Cojaal pour la réalisation du tronçon Est de l’autoroute, pour un délai initial de 40 mois.
Ce délai a doublé et le tronçon n’est toujours pas livré. La cause : 30 km longeant les monts de Djebel El Ouahch, à Constantine, jusqu’à la vallée d’El Harrouch à Skikda. La géographie de la région imposait la réalisation d’un nombre d’ouvrages d’art (tunnels et viaducs), mais la nature argileuse et glissante du sol a vite fait de dissuader l’entreprise de réalisation suite à des effondrements sur les chantiers. Cette contrainte a causé d’énormes retards et une augmentation des coûts du projet.
Des voix se sont élevées pour incriminer l’étude géophysique préalable, mais le ministre des Travaux publics ne s’est pas attardé
sur la question et a accordé aux Japonais des avenants relatifs à des modifications sur le tracé et les techniques employées.
L’avenant signé en septembre 2011 entre l’ANA et Cojaal pour un montant de 29,475 milliards de dinars (dont la moitié en devises), concernait les travaux supplémentaires, dont 19 échangeurs (pour 21,779 milliards) et 24 ouvrages de rétablissement, doublements et extensions (avec une enveloppe de 3,412 milliards). Cojaal avait bénéficié aussi d’un délai supplémentaire de 18 mois, mais même avec ça, le projet n’a pas vu le bout du tunnel.
Les ajournements se suivaient et Amar Ghoul avait misé, en vain, sur l’ouverture à la circulation de l’un des deux tunnels de Djebel El Ouahch, pour soulager un trafic devenu insoutenable entre Constantine, Skikda et Annaba. Cojaal avait exigé par la suite une réévaluation des coûts, mais cette fois, le ministère des Finances a refusé de payer la somme – estimée à 200 millions de dollars, mais pas seulement pour le tronçon Est – au motif que les travaux supplémentaires font partie du projet initial. N. N.
Fin de citation.
Alors messieurs les commentateurs avertis (et enturbannés), un petit commentaire illuminé à faire ? Je vous fais le mien: que vous soyez d'Algérie ou du Niger, vous démontrez vos brillantes capacités de projection dans l'avenir. Il est vrai que depuis quelque temps vous êtes un peu silencieux... Piégés dans un trou au fond de l'Adrar des Iforhas ?
le chef de la tribu :
- Des cannibales ? Y a en plus, on vient de bouffer le dernier ...
Sur la question de l'esclavage, il faut rappeler que ce sont les rois nègres qui fournissaient la marchandise sans s'encombrer de scrupules. Et que c'est un français qui s'est attaqué à la question: Albert Londres, auteur de "Terre d'ébène".
Aujourd'hui il existe des Askia qui voudraient bien voir renaitre cette belle époque.
http://fr.news.yahoo.com/nigeria-17-ado ... 00851.html
La police a fait une descente dans une maison où 17 jeunes filles enceintes étaient retenues. Leurs bébés étaient destinés à la vente.
Une vrai "usine à bébé". Dix-sept adolescentes, retenues prisonnières dans une même maison, ont été libérées par la police au Nigeria, a-t-on appris ce vendredi de source officielle. Elles étaient toutes enceintes du même homme et leurs bébés étaient destinés à être vendus. Onze enfants en bas âge ont également été retrouvés. Une femme soupçonnée d'avoir organisé ce trafic est toujours recherchée, a déclaré Joy Elomoko, porte-parole de la police de l'Etat d'Imo, dans le sud-est du Nigeria.
Les voisins prenaient la maison pour un orphelinat ou un refuge pour femmes enceintes et l'appelaient "Maison Ahamefula de bébés sans mères". On ne sait pas si les jeunes filles avaient été amenées dans la maison de force mais elles ont raconté à la police qu'elles ont été mises enceintes par un jeune homme de 23 ans, actuellement en prison, ainsi que le garde qui surveillait le bâtiment.
Au Nigeria, la vente d'enfants est courante
Les jeunes filles, âgées de 14 à 17 ans, "ont affirmé qu'elles n'étaient nourries qu'une seule fois par jour et n'étaient pas autorisées à quitter la maison", a expliqué la porte-parole. Elles ont indiqué à la police que leurs enfants devaient être vendus à des personnes "désireuses de les acheter".
Dans un rapport sur le trafic d'êtres humains publié le mois dernier, l'UE a classé le Nigeria comme le pays où ce fléau est le plus répandu. Ce rapport indique que la vente d'enfants y est courante et que la police a déjà découvert ce qu'on peut appeler des "usines à bébés". En mai 2011, dans l'Etat d'Abia (sud-est), la police a libéré 32 jeunes filles enceintes qui ont indiqué qu'on leur avait offert entre 25 000 et 30 000 naira (191 dollars) selon le sexe de leur bébé. Un autre groupe de 17 jeunes filles a été découvert en octobre 2011 dans l'Etat d'Anambra (sud) dans des circonstances (...) Lire la suite sur lexpress.fr
Pourtant... il paraît que de pareilles horreurs ne peuvent exister que chez nous....
Allez Askia, réveille toi, viens nous répondre !!!!
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