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Actualités du Niger
Ce qui se passe au Niger depuis un certain temps s’apparente décidément à un feuilleton politique d’un mauvais genre et dont chaque épisode est plus dramatique et pathétique que celui qui l’a précédé. Avec pour principal acteur, le président Tandja himself. Preuve que le "cas" nigérien est devenu une préoccupation pour la communauté internationale, une délégation conjointe de l’ONU, de l’Union africaine et de la CEDEAO s’est rendue, cette semaine à Niamey, dans le but d’aider à désamorcer la crise politique qui paralyse le pays depuis de longs mois. Elle aura réussi à rencontrer le chef de l’Etat. Mais de toute évidence, elle n’aura pas réussi à changer l’inflexibilité d’un Tandja, dans la fixation qu’il s’est faite d’organiser son référendum pour s’offrir la possibilité de briguer la magistrature suprême autant de fois qu’il le souhaitera. Pour preuve, la déclaration que le chef d’Etat nigérien a faite à la télévision nationale le soir même où il recevait les diplomates internationaux. "On veut que je recule parce que l’opinion internationale veut que je le fasse, mais je ne le ferai jamais !", a-t-il martelé. Et d’ajouter que ce référendum, il l’a convoqué "à la demande du peuple", avant de terminer qu’il travaille pour le Niger et non pour la communauté internationale. Le président nigérien voudrait faire croire qu’il soustrait son pays de la communauté internationale, qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Ce discours, l’honneur de Tandja restant sauf, est l’expression d’un manque de clairvoyance qui n’a d’égale que la volonté à peine voilée du président nigérien de se moquer de ces diplomates venus au nom du concert des Nations, aider à récupérer le peu qui reste d’un pays décidément à la dérive. Tandja, après avoir piétiné sa Constitution, ridiculisé ses institutions, bâillonné son propre peuple, se paie même le luxe de ridiculiser la communauté internationale. Il use pour ce faire, d’un argument obsolète et éculé, que bien des dictateurs, avant lui, ont évoqué pour justifier de sombres et bien dangereuses ambitions personnelles qu’ils enrobaient soigneusement du vocable de la "demande du peuple". Le président Tandja n’innove pas. Et comme c’est toujours le cas, il aura toujours à sa solde une kyrielle de thuriféraires tous plus zélés les uns que les autres, louant et vantant à souhait ses "heureuses" initiatives pour un pays qui, à les en croire, ne peut plus jamais se passer de lui. En retour et en récompense, pour le chef, seules les voix des flatteurs méritent d’être prises en compte. Et c’est bien le peuple nigérien qui est pris en otage. Les instances internationales balayées par leur président, les Nigériens devront désormais compter sur leurs seules forces pour contrer les dérives autoritaires de Tandja. La tâche ne sera pas une sinécure, le chef d’Etat ayant désormais toutes les cartes en mains, puisque gouvernant le pays, depuis un certain temps déjà, par décrets et ordonnances. Il ne lui reste d’ailleurs plus qu’à décréter l’Etat d’urgence pour couronner le tout. On ne peut d’ailleurs pas dire que ce soit l’envie qui lui en manque. Peut-être attend-il seulement l’occasion favorable pour le faire. En tout état de cause, le "cas" nigérien est celui d’un recul grave de la démocratie, dans un pays africain ; recul que l’on est obligé de voir se dérouler en temps réel, et auquel on assiste impuissant. Et le spectacle est d’autant plus pitoyable que l’on croyait certaines pratiques antidémocratiques à jamais révolues. On constate hélas, que ces vieux démons n’étaient pas vraiment morts. Mais fort malheureusement, le mauvais exemple nigérien peut créer un dangereux précédent, dans un continent qui, cependant, en matière de mal gouvernance et de dérives autoritaires, en a vu des vertes et des pas mûres. Car l’attitude de Tandja peut donner à penser que, pour un président, rester tenace envers et contre tout, peut finir par user l’adversaire et l’obliger ainsi à capituler sans demander son reste. Sauf que dans le cas présent, il a affaire à des Nigériens politiquement mûrs, légalistes et patients et que ce qu’ils réclament ici est une vraie et saine démocratie. Tandja aura beau s’arroger tous les pouvoirs, décréter illégales toutes les grèves des centrales syndicales, il ne sera pas en mesure d’enlever de la tête des Nigériens que le combat qu’ils mènent est nécessaire, juste et noble. Et qu’un jour, il finira par payer.
"Le Pays"
http://www.lepays.bf/spip.php?article2567
Où sont les défenseurs de la pseudo démocratie à la nigérienne? Que font ils?
La Justice: minée par des dissensions internes, motivées par la faim, elle est composée d'un camp qui dit amen à toutes les volontés de Tanja et un camp qui craint que l'étau ne se ressert sur lui sans garantie: Ceci explique qu'aujourd'hui elle donne raison à X et demain à Y sur le même dossier.A moins que ce vacillement s'explique par la nullité de nos hommes de lois qui n'arrivent point à dire le droit.
l'opposition déchirée par les intérêts partisans,qui aboi depuis un certain temps sans jamais mordre au point que Tanja et comparses se disent qu'elle est édentée. Le combat politique se limite à la seule arene de la presse privée comme si le Niger se limitait à Niamey.
La jeunesse des Fada de Niamey dont le seul soucis est le sucre du thé censé rythmer l'oisiveté quotidienne, prête à louer sa voix en contrepartie de maigres retombées temporaires.
Des partis politiques ayant officiellement opté pour la prostitution politique à l'exemple de l'UDPS SANS AMANA, pour qui les souffrances de TEMOUST ont été monnayées avec le sinistre poste de issouf Bako. comme si leurs accoutrements de lux insolent pouvaient couvrir la nudité de leur lâcheté obséquieuse au mépris des victimes de Tanja et de sa milices dans une région meurtrie dans laquelle ils se pavanent pour chanter devant les veuves et orphelins les louanges du "père" de la nation.
Les syndicats et associations dont les recours incessants à la "loi" montre la craintes des acteurs d'aller jusqu'aux bout.Leur tremblotement a fini d'ailleurs par décourager plus d'un militant qui ne répond plus à leur appels.
Le quatrième pouvoir se trouve sous la dicté d'un Diallo sosie de Tanja en carence et sénilité et oublie que les prisons du Niger ne peuvent ni effrayer ni contenir tous les nigériens prêts à y aller s'il le faut pour défendre leur liberté d'opinion.
Les institutions internationales auront elles la force et la volonté de passer aux actes avec leur répudiation publique par un Tanja soulé par ses carences, tandis qu'à coté la chine qui, prête à fermer les yeux sur la légalité risque de s'octroyer les largesses de Tanja?
Pendant deux ans et demi sur ce forum on nous a souvent dit qu'il y' a des moyens démocratiques efficaces pour faire aboutir ses revendications, autres que par l'usage de la force. Aujourd'hui force est de constater qu'en terme de moyens pour défendre la démocratie c'est la sècheresse totale. Ce qui au plus fort moment des souffrances de la région d'Agadez avait été pris pour une raciste insensibilité cachait en réalité une lâcheté sans limite de la classe politique du Niger. ceux qui hier, peu nombreux avaient montrer leur désapprobation face aux injustices subies par les populations du nord, à l'image de Morou Amadou, sont les seuls aujourd'hui qui ont gardé leur dignité et leur convictions.
On le voit bien tout peuple a le genre de gouvernement qu'il mérite. Tanja a compris que les défenseurs de la démocratie ne peuvent pas aller plus loin que les aboiements, les ululement et les pleurnichements gratuits auxquels nous assistons depuis qu'il a décider de coller ses fesses flétries par l'age et l'incontinence au fauteuil tant convoité.
Awinnane
Effectivement mon ami, le constat est là. la présence de l'opposition se limite à la seule capitale Niamey et encore... pas toute la ville de Niamey... c'est uniquement au niveau de certaines places de Niamey où, habituellement, se regroupe toute l'opposition à l'occasion de ses meetings et autres; Alors que le Niger est plus grand et plus large que ces places qui regroupent les militants de l'opposition.
Le Monde extérieur observe et est convaincu que cette oposition, qui ne fait que développer un discours de salon loin de la réalité du terrain, n'est pas capable de mener le pays vers de situations meilleures que celle réalisée par Tandja.
Consciente, la Communauté internationale ne peut accepter le retour de gens ayant déjà conduit le pays vers des situations instables voire même vers des coups d'état.
Soyons raisonnable mon ami, le pays a besoin de stabilité et on n'a pas le droit à l'erreur une autre fois pour revenir en arrière.
Bonne Compréhension.
Et si la VIème République était la bonne !!!!
Le tollé suscité par la volonté du président de changer la Constitution a l’allure d’un sursaut national destiné à indiquer au chef de l’État la ligne jaune, cette ligne qu’il ne pourrait franchir sans prendre le risque de déstabiliser le pays. Cependant, l’avalanche de réactions et de prises de position paraît surprenante de la part d’une classe politique qui brille par son silence et sa démission du débat politique depuis plusieurs années. Comme si la démocratie était pour cette dernière réduite aux élections et à l’alternance des différents clans au pouvoir…
Au-delà du débat en cours, il faudrait rappeler le contexte dans lequel l’actuelle Constitution a été rédigée et proposée au peuple. En effet, suite à l’assassinat du président Baré, l’ensemble de la classe politique avait fait voter le peuple en faveur d’une Constitution qui permettait de protéger les auteurs de ce crime et leurs complices. Ce qui a largement contribué à discréditer la classe politique nigérienne et à affaiblir le processus démocratique. Ce consensus de nos dirigeants pour constitutionnaliser l’impunité a été un acte lourd de conséquences qui disqualifie encore aujourd’hui l’opposition quand elle crie à l’atteinte aux valeurs démocratiques. Il y a là un problème de cohérence et de morale politique qui rendent peu crédibles les appels de l’opposition, quelle que soit par ailleurs leur justesse.
Dans un pays comme le Niger, la pratique politique, plus qu’ailleurs encore, a une dimension pédagogique essentielle à l’enracinement de l’esprit démocratique dans la société.
Le président Tanja a devant lui une occasion de marquer positivement l’Histoire du pays et de mettre réellement celui-ci sur les rails du développement. Cette nouvelle initiative pourrait donner l’occasion au Niger de sortir définitivement du cycle de violence et d’instabilité. Pour cela, il semble impératif que les choses soient prises dans un ordre logique et porteur d’avenir.
Aucun président n’a encore eu l’audace ou l’opportunité de déconstruire le schéma hérité de l’administration coloniale pour offrir au peuple nigérien la possibilité de se penser et de se donner des institutions authentiques à travers un pacte national et républicain basé sur la prise en compte de sa diversité et de ses réalités socioculturelles. Pour lancer cette refondation de notre pacte national, il faudrait réaffirmer les liens qui unissent les différentes communautés nationales et l’impérieuse nécessité d’une intelligente coexistence, dans un cadre garantissant à chacune d’elles son épanouissement et son développement. Aujourd’hui, nous savons que tel n’est pas le cas. De manière sournoise et « naturelle », comme diraient certains, l’hégémonie culturelle de certaines communautés menace la survie d’autres. Avec la complicité, peut être aussi « naturelle », de l’État. L’État se doit non seulement de reconnaître notre diversité, mais aussi et surtout de la protéger par des règles appropriées. Rien ne peut être laissé au hasard dans ce domaine, sinon cela pourrait conduire inévitablement à l’injustice, à des frustrations et, finalement, à la violence.
C’est pour cette raison qu’un changement de Constitution pourrait être l’occasion pour l’actuel président de proposer un véritable pacte national partagé par l’ensemble des Nigériens, car fruit de leur propre volonté politique. Il permettrait de stabiliser de manière indiscutable et donc durable ce qui fait le socle de la nation. Assuré de cette stabilité, le pays serait mieux armé pour faire face aux défis du développement et connaître une réelle vie démocratique. Il n’est pas normal que les moyens de l’État soient utilisés pour continuer à stigmatiser ceux qui rappellent les dysfonctionnements et les déséquilibres qui existent au sein des institutions. Certaines pratiques discriminatoires de l’État sont bien plus subversives et plus dangereuses pour l’unité nationale que les rébellions et autres formes de contestation du système...
A suivre...
Sur votre résignation à accepter la dictature de Tanja, c'est trop demander:
1.Le mec est vieux
2. il est malade et à force d'incontinence il n'assiste plus aux réunions hors du Niger depuis des années.
3. il est malade de la tête au point de se croire irremplaçable: il l'a dit dans son délire à la presse où il a humilié le Niger.
4. C'est un analphabète, si bête, que quand il parle il donne une fausse image de l'Afrique;
5. Il est H24 sous perfusion alcoolique.
6. Sa propre famille souffre de son irresponsabilité morale et intellectuelle;
7. Il est plein de contradictions: le système semi présidentiel lui aurait dit il empêché de travailler car c'est le premier ministre qui fait tout! et pourtant il se flatte de "ses grandes réalisations"?.
S'il quitte les français vont ils se désintéresser de l'uranium? les chinois du pétrole? La BAD et autres institutions investissent elles dans le barrage de Kandaji pour ses vilains yeux? ou les institutions de brutton woods vont elles revenir sur l'allègement de la dette et sur les fonds PPTE qu'il baptise sans vergogne programme du président?
Le vieux a besoin de se faire soigner dans la tête et dans le corps et on lui chante des louanges à longueur de journées? Cela s'appelle non assistance à personne en décadence physique et morale. A Niamey on laisse des fous braver les dangers de la ville et comme si cela ne suffisait pas on acclame un malade sénile pour se faire ridiculiser devant sa famille juste pour manger sur son dos.
Et toi Yacouba face à la tragédie tu opte pour la continuité?
Au Niger il n'y a pas que les assassins de Baré et leur complices. Je te propose Morou Amadou Président!
Oui l'article 141 qui accorde amnistie aux assassins de Baré est une insulte. Mais la constitution de Tanja le ramène à l'article 152; POURQUOI? PARCE QUE IL EST PARMI CEUX QUI ONT SIGNÉ LA MORT DE BARE! qui est fou?
Au lieu de s'incruster s'il était un vrai patriote il allait disqualifier toute cette classe pourrie y compris son propre entourage et organiser des élections libres et transparentes, dans lesquelles la jeunesse propre et réellement démocratique viendrait prendre les destinées du Pays.
Il aurait tapé dans les vieux dinosaures corrompus et incultes qui gravitent autour de lui et aussi ceux de l'opposition et les remplacer par des gens honnêtes et compétents venant de toutes les sensibilités politiques. Non il a utilisés tous les rebut moraux, et intellectuels pour en faire "le peuple"; au lieu du Niger c'est son nom qui est magnifié et chanté par des ignorants innocents. Tanja n'est pas un mal nécessaire c'est un mal tout court.
Dieu merci son inculture est tellement flagrante que son petit jeu ne trompe plus personne. Il dit le Niger d'abord mais ses actions disent: APRÈS MOI LE DÉLUGE!
Il n'y a absolument rien a aimer chez la catastrophe megalomaniaque.
Awinnane
Je constate que ce mec veut salir davantage le nom des zindérois fief du TAZARTCHE. Que Dieu sauve ces ignorants qui n'ont les yeux et les narrines que pour sentir la bonne sauce des voleurs de la république.
Si Tanja avait effectivement fait un travail de réflexion approfondi pour proposer quelque chose de nouveau. Je pouvai le soutenir jusqu'à la victoire ou juqu'à la mort. Mais force est de constater que la première constitution donne un minimum de garantie démocratique et de justice. Mais cette nouvelle constitution n'a rien d'innovant dans le sens positif. Il est essentiellement un dispositif pour assoeir un pouvoir dictorial mafieux qui engendrera inévitablement à court ou moyen terme la violence dont notre ami Awinnane fait l'éloge pour se saborder.
Justement pour répondre à Awinanne, la guerre contre l'injustice qui a été mené dans le nord était mal orienté, car elle cherchait exactement à faire ce que fait l'opposition ajourdhui au Niger. Instaurer au nOrd un régime mafieux à la place du régime mafieux du pouvoir central. L'histoire m'a donné raison sur ce point. Tout ce que vous dites sur les chefs rebelles confirment mes propos.
En revanche la lutte démocratique existe, elle se fait avec conviction et de manière désintéressée, comme fait Marou Amadou et les autres.
Je n'ai pas trop de temps pour donner les détails mais j'y reviendrai in chahAllah
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