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Consultez les archivesAmadou Moumouni Djermakoye, président de l'ANDP, parti de la majorité sur le projet de référendum constitutionnel au Niger
Par Christophe Boisbouvier
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Le président nigérien Mamadou Tanja souhaite changer de Constitution de manière à pouvoir briguer un nouveau mandat. Ce qui provoque nombre de réactions au Niger comme dans la région ; certains craignent même une détérioration de la situation politique si le président Tanja ne revient pas sur sa décision. Amadou Moumouni Djermakoye, président de l'ANDP, parti de la majorité, s'est prononcé contre ce projet de référendum constitutionnel
La constitution a prévu pour sa protection une court constitutionnelle charger de juger le président en cas de haute trahison. Jarmakoye en est le président. Au lieu de nous rassurer sur sa capacité à faire jouer toutes ses attributions devant le parjure de tanja il se lance dans des hululements lugubres qui ne sont rien d'autres que des aveux d'impuissances si Tanja allait jusqu'au bout. Car rappelez vous Tanja lui tient les couilles suite à la disparition de la trace des fonds Koweïtiens pour lesquels "l'homme du consensus" ou (du couscous) serait le responsable. On se rappelle encore qu'au début de la rébellion, débraillé et tout suant, le vieux colonel avait proposé sa pension comme contribution à l'effort de "guerre". les fonds koweïtiens et le mangement à l'assemblée ayant mis le bon homme hors des griffes du besoin. Oh! Nigériens quand on dit qu'on se fait berner, même par des clowns de cet acabit?
On aurait compris combien il est mal aisé de parler d'hygiène quand on est assis sur sa propre crotte!
Awinnane
En ce que je sache, Moumouni Djermakoye est président de la Haute Cour de Justice et non la Cour Constitutionnelle. A moins qu'il s'agisse de deux différentes appelations de la même cour. Quelqu'un peut me rectifier SVP
Ekawel
Tu as raison Ekawel! Moumouni Djermakoye Adamou est président de la haute court de justice.
La haute cour de justice qu'il dirige ne juge que les personnalité que l'Assemblée a bien voulu mettre en accusation. Attendons donc la réaction de l4assemblée Nationale.
Merci
Askia ça serait pas un soutien comment dire: parent parent? de l'askia au dendi c'est..............
Awinnane
Le problème, c'est que ces petits zarma sont entrain de nous ravir les qualités sonrai qui sont: la bravoure, l'honnetété, le sens de la dignité!
J'aurai bien voulu que ce soit un siddo el hadj, un moussa harouna ou un mamoudou zibbo qui serait à l'avent garde de la lutte pour la liberation de hama+.je sui desolé de constaté que se son les zarma qui on sauvé les mebles. Et tout ressament, encore se son eu qui on fait le festival téra-téra.
C'est juste pour nous racheté. Nous avons perdu notre dignité, pourquoi ne pas les aider à nous ramené à la maison.
Si awnnane chante toujours les valeurs touareg, pourquoi veut-il nous refuser le droit de soutenir nos lointains parents
Ce matin nous avons procedé à la pause de la première pièrre, la toute première pièrre, du port sec de Dosso. C'en est fini avec les cousins Djerma! L'achat du monde djerma par le tazarché nous donne encore plus d'assurance quant à la réussite à 100% de notre mouvement. Pendant que Djermakoye desaprouve le tazarché avec une langue de bois, nous Tazarchistes posons des actes concêts dans la capitale Djerma. Nous avons été plus malins que vous monsieur Askia! Nous avons toutes les ressources de l'etat entre nos mains. Vous ne pouvez rien contre nous!
Ekawel
Je crois que nous allons saisir la main de notre Zarmakoye, qui se comporte en homme depuis un certain temps. Le tarzarché ne passera pas chez les zarmas que les quelques rescapés de la honte du sonrai ont décidé de soutenir, mais j'ai peur que comme l'a évoqué Farmo Moumouni Maiga :" toutes les rebellions commencent dans le nord au Niger, et la dernière le Tazarché a pris f forme à Imouraren lors de la pose de la première pierre de l'Usine ...".
Donc la rebellion a commencé au Nord et rien n'a été dit à Dosso, tellement que le chef de file du Tazarché connait la position du génie de Sofa Kolé.
Donc je crois que nous pouvons encore compter sur ces Zarma
Ce qui me chagrine est que ni Jarmakoye ni Tanja ne se soucient réellement ni des Zarma ni des Songhay ni des Dendi. La gestion catastrophique des mines d'or de Tillabery, les potentiels agricoles des berges du fleuve Niger non mises en valeur, les potentiels touristiques de la région du W à jamais négligés sont autant de sujets qui vont trouver une oreille attentive de ces populations qui ne connaissent que la misère depuis les "IN" dépendances. Les discours puérils et hypocrites de se propres fils ont été les grands chantiers dans la région.
Le mangement collectif d'une petite classe au pouvoir jurant avec une réelle volonté de changer le quotidiens des masses rurales a été le seul produit visible au village.
L'hypothétique barrage de Kandaji annoncé depuis Kountché ne se réalisera peut être que quand l'ensablement et la jacinthe auront asséché le fleuve.Un barrage c'est toujours bien en amont mais qu'en sera t il en aval? Enfin espèreront que l'étude a été sérieuse. Parce qu'avec un gouvernement qui ne pense qu'au commissions à toucher et à l'électricité pour les riches, que réserve t il pour les rizières de Gaya et les pécheurs sorko? Pour le port sec les grands feront des affaires certes. Mais qu'a t on réservé aux petits? Au Niger une chose est sure ceux qui font les lois et signent les conventions se fichent du petit peuple. Ce dernier accepte tout programme flatté par "l'autorité".
On a vu l'espoir qu'a suscité la découverte de l'or à Tillabery mais avec le recul qu'a t il changé au quotidien des maïga?
Mon enthousiasme est parasité par toutes ces questions.
Wait and see.
Awinnane
jeudi 21 mai 2009
Le président nigérien MamadouTandja veut faire réviser la Constitution par référendum afin de rester au pouvoir au-delà du mois de décembre prochain. Mais que cherche-t-il à faire exactement ? Veut-il faire sauter le verrou des deux mandats maximum pour briguer un troisième mandat ? Réponse de son ministre d’Etat, de l’Intérieur, de la Sécurité publique et de la Décentralisation, Albadé Abouba, lors d’un entretien accordé à RFI.
RFI : Albadé Abouba, le président a promis qu’il ne toucherait pas à la Constitution. Alors aujourd’hui pourquoi change-t-il d’avis ?
Albadé Abouba : Le président ne touchera pas à la Constitution parce qu’il y a la proposition d’une nouvelle Constitution. Donc, je ne vois pas en quoi on peut reprocher au président de la République, Tandja Mamadou d’avoir violé les dispositions de la Constitution actuelle dès lors que la changer, c’est proposer au peuple une nouvelle Constitution qui lui est loisible d’accepter ou de rejeter.
RFI : Oui, mais les adversaires du projet disent que : « Vous jouez sur les mots et que vous faites quelque chose de pire qu’une modification : vous annulez la Constitution actuelle ».
Albadé Abouda : Mais, nous ne jouons pas sur les mots. Et puis, de toute façon, la même Constitution a annulé aussi quatre autres Constitutions, à ce que je sache. Maintenant, ceci étant, le président Tandja n’a jamais rien demandé à personne. Ce n’est pas du président Tandja qu’est venue l’idée de prolonger son mandat. C’est à l’occasion de la pose de la première pierre de la raffinerie de Zinder que la population de Zinder est sortie massivement. Et à l’occasion, ils ont exprimé leurs vœux de voir le président Tandja continuer son mandat.
Les populations reconnaissent que le président a bien travaillé. Et le président a engagé des chantiers qui sont exceptionnellement importants pour l’Etat nigérien. Et c’est tout à fait normal qu’ils lui reconnaissent ses qualités. Il vaut mieux qu’ils lui reconnaissent de son vivant que de lui faire une belle apologie funèbre après sa mort, comme cela s’est vérifié avec ses prédécesseurs. Ils ont exprimé le vœu que le président Tandja continue son mandat.
Mais il est évident qu’à travers la Constitution actuelle, c’est quasiment impossible. Et tel qu’il a prêté son serment, il n’a pas voulu violer son serment. Par contre il dit, « puisque c’est ce que vous voulez, exprimez-le à travers un autre texte. Mais celui-là sur lequel j’ai prêté serment, je ne le toucherai pas ». Donc voilà, l’idée sur laquelle est partie l’élaboration de la nouvelle Constitution qui va être soumise au référendum et à la sanction du peuple.
RFI : Les adversaires du kazartche (continuité en langue haoussa) sont d’autant plus choqués par l’initiative du président que celui-ci avait juré sur le Coran qu’il ne toucherait pas à la Constitution.
Albadé Abouda : Oui, mais c’est réel, il a juré sur le Coran. Alors, comment, lui qui a juré sur le Coran, peut-on lui prêter des intentions de parjure, par ceux-là même qui n’ont jamais juré sur rien du tout. C’est lui qui est conscient de l’importance du serment qu’il a prêté. Et c’est pour cela qu’il a dit qu’il ne touchera pas à la Constitution, telle qu’en tout cas, on lui a soumise.
RFI : Mais pouvez-vous dire qu’en annulant cette Constitution, il ne touche pas à celle-ci ?
Albadé Abouda : Oui, mais on ne l’annule pas, on la remplace. Je crois qu’il y a quand même une certaine nuance.
RFI : Est-ce qu’on ne joue pas sur les mots ?
Albadé Abouda : Mais la Constitution en elle-même, c’est un ensemble de mots.
RFI : Au niveau régional, la Cedeao dit que le Niger ne respecte pas un protocole qu’il a signé il y a huit ans qui interdit de modifier la Constitution dans les six mois qui précèdent un scrutin.
Albadé Abouda : Mais je pense que l’institution en tant que telle, par principe effectivement, elle peut exprimer ses préoccupations. Mais nous connaissons très bien les pays qui composent la Cedeao et nous savons l’histoire de chacun de nos pays. Donc, à ce niveau, je pense qu’il vaut mieux d’abord balayer suffisamment devant sa porte avant de s’occuper de celle du voisin.
RFI : Voulez-vous dire qu’il y a des arrière-pensées politiques de la part de vos voisins ?
Albadé Abouda : C’est possible.
RFI : Et à quels pays pensez-vous en particulier ?
Albadé Abouda : Laissez-moi ne pas vous répondre sur ce point.
RFI : Des pays francophones ?
Albadé Abouda : Cela n’a aucune importance.
RFI : Sur le fond, Monsieur le ministre, pourquoi le président tient-il absolument à briguer un troisième mandat ?
Le président nigérien Mamadou Tandja a procédé le 5 novembre 2007 à la pose de la première pierre donnant ainsi le coup d’envoi de la construction du deuxième pont à Niamey.(Photo : site officiel de la présidence de la République du Niger)
Albadé Abouda : Non, il n’a jamais été question pour le président de briguer un troisième mandat. Les populations ont demandé qu’il puisse proroger son mandat de deux à trois ans maximum, afin de parachever un certain nombre de chantiers. Il y a le barrage de Kandadji, il y a l’exploitation du pétrole, l’exploitation de l’uranium, le chemin de fer, le port sec de Dosso, la route industrielle, le deuxième pont de Niamey, l’exploitation du charbon à travers une centrale thermique, l’exploitation du ciment, du phosphate. Donc, il y a un ensemble de gros projets très importants pour le Niger.
RFI : Alors qu’est-ce qu’il y a dans ce projet de texte ? Il y a l’idée qu’on aille à une élection présidentielle en novembre prochain pour que le président brigue un troisième mandat ou il y a l’idée que le président prolonge son mandat actuel et qu’on ne vote pas avant 2011 ou 2012 ?
Albadé Abouda : Il y a deux options qui sont proposées. Je préfère voir d’abord à travers les débats au niveau des différentes régions, pour voir l’option qui a été retenue et nous retiendrons la formule que la majorité des populations nous aura suggérée.
RFI : Et vous, personnellement, quelle est la formule que vous préférez ?
Albadé Abouda : Moi je préfère la formule que retiendra la majorité de la population et la majorité de nos militants.
RFI : Et quelle sera à votre avis cette formule ?
Albadé Abouda : Je pense très sincèrement que formule de prolongation du mandat serait la mieux indiquée pour la bonne et simple raison que cela répondrait aux vœux exprimés et cela permettrait en deux ou trois ans au président de parachever ses œuvres qu’il a déjà initiées.
RFI : Et dans ce scénario, on ne voterait pas à la fin de cette année mais en 2011 ou en 2012 ?
Albadé Abouba : oui, c’est une hypothèse aussi.
RFI : Mais monsieur le ministre, est-ce que vous ne craignez pas que les oppositions soient si fortes lors de ce référendum que vous le perdiez ?
Albadé Abouba : Si nous perdons le référendum, nous en tirerons les conséquences. C’est cela aussi la démocratie. Et je pense le fait de perdre un référendum ce n’est pas une honte mais seulement il faut également militer, sensibiliser les populations pour la portée historique de cette consultation puisqu’à la limite, ce sont ces mêmes populations qui l’ont suggérée.
RFI : L’opposition envisage l’hypothèse qu’on n’aille même pas jusqu’à ce référendum et qu’entre temps le président comparaisse devant la Haute cour de justice pour trahison. Qu’en pensez-vous ?
Albadé Abouba : Oui, mais, il aura trahi qui ? Sur quelle base ? Parce que c’est très facile d’utiliser des gros mots. Mais le président n’a pas violé la Constitution. Le président n’a pas commis de parjure. Je ne vois pas en vertu de quoi quelqu’un va se proposer de déférer le président devant la Haute cour de justice. Et en plus, il faut que les gens soient un peu réalistes. Certains justement qui le déclarent, eux , ils ont déjà violé la Constitution. Et si tentés que les articles de la Constitution se valent, quel sort il faut leur réserver ? Est-ce qu’ils se sont posé la question ?
RFI : Albadé Abouba, d’anciens alliés du président comme Adamou Djermakoye disent que jusqu’à présent, Mamadou Tandja a fait un quasi sans fautes et qu’il a été le garant de l’unité nationale mais que maintenant il va diviser le pays ?
Albade Abouba : Je connais très bien le président Adamou Djermakoye. IL a de très grandes qualités. Et l’une de ses principales qualités aussi c‘est de dire le contraire de ce qu’il pense.
RFI : mais tout même, il y a eu plusieurs dizaines de milliers de Nigériens dans la rue. Il y a deux semaines pour protester contre le nouveau projet du président, est-ce que de fait ce projet ne va pas provoquer une cassure dans le pays ?
Albadé Abouba : Non, je ne pense pas. Le fait d’exprimer ses appréciations ou ses opinions par rapport à une situation donnée, cela ne peut pas être fondamentalement l’origine d’une fracture ou d’une division de la communauté nationale. Sauf ceux qui dès le départ, auraient des arrière-pensées pour d’autres objectifs.
RFI : est-ce que vous ne craignez pas qu’au terme d’une situation chaotique, l’armée sorte de ses casernes ?
Albadé Abouba : Nous ne pouvons présager de rien mais ce qui est certain c’est que l’armée nigérienne fait la démonstration de ses qualités d’armée républicaine. L’armée nigérienne sait pertinemment tous les efforts que le gouvernement et particulièrement le président Tandja a consacrés pour lui redorer le blason et la mettre dans les conditions optimales de fonctionnalité.
Mais il y a effectivement toujours des semeurs en eau trouble, donc des gens qui seraient tentés plus ou moins de faire des appels du pied à l’armée. Nous le savons. D’autres auraient même pris des contacts avec un certain nombre ce personnes. Mais qu’à cela ne tienne. Je pense que l’armée nigérienne dans sa globalité a toujours démontré sa loyauté aux institutions de la République. C’est un arbitre effectivement mais nous, nous avons la responsabilité de ne pas justement créer les conditions de chaos pour ouvrir les portes à l’intervention de l’armée.
RFI : Qui sont ces hommes qui ont pris contact avec l’armée ?
Albadé Abouba : Laissez l’histoire les dévoiler toute seule.
RFI : Jusqu’à présent, la CDS de Mahamane Ousmane et l’ANDP d’Amadou Djermakoye étaient de votre côté, aujourd’hui, ils s’opposent au kazartche à votre projet, est-ce que vous n’allez pas vous retrouver très isolé ?
Albadé Abouba : Non. A priori , les partis politiques en tant que tels, je pense que , même en leur sein, le débat est ouvert et je sais de quoi je parle. Je pense qu’un parti comme la CDS, un parti très démocratique où les opinions sont très bien exprimées. Je pense que c’est le manque d’information et le manque de communication et le manque surtout de disposer de documents qui avait fait peut être précipiter certains dans des déclarations. Peut être beaucoup d’entre eux regrettent à la limite de les avoir diffusées.
RFI : Au sein de votre parti, il y a aussi les partisans de Hama Amadou qui sont contre ce projet, est ce que cela ne vous affaiblit pas ?
Albadé Abouba : Non, je pense que c’est leur droit aussi d’exprimer autrement leur sentiment. C’est peut être aussi un déficit de communication. Dans tous les cas, il y aura toujours des détracteurs et des adversaires. Mais c’est cela même qui fait un peu la saveur de la démocratie.
RFI : est-ce que tout cela n’est pas une aventure politique très risquée ?
Albade Abouba : Mais la politique par définition, c’est des risques permanents qu’il faut courir. Mais ce n’est pas de l’aventurisme non plus. Je pense qu’il y a nuance.
RFI : Mais vous êtes sûrs de gagner ?
Albadé Abouba : Nous ne soumettons pas un référendum pour perdre. Nous espérons et souhaitons de gagner.
RFI : Mais vous êtes sûrs ?
Albadé Abouba : On n’est jamais sûr de rien en politique mais nous espérons. Et nous sommes optimistes, nous pensons que le référendum ou la prochaine Constitution seront votés.
Entretien réalisé par Christophe Boisbouvier de RFI
Nous userons de toute notre influence pour que le oui l'emporte. Nous avons dors et dejà mobilisé l'ensemble des chefs coutumiers tès écouté par leurs populations, sans oublier les gouverneurs, prefets et chefs de postes administratifs. Notre tazarché passera par la grace du dieu allah!
Ekawel
Nous manquions de génie en politique eh!bien! nous sommes servis:
Si la loi vous interdit de voler dans la caisse conseil de notre Albadé national: Prenez toute la caisse et là c'est pas un vol!!!
Surtout si vous mettez une autre plus petite qui ne vous appauvrit pas!
Non! sans blague c'est pas pour rire, c'est le genre de régime qu'il nous propose! Et ça marchera!
Si par malheur vous avez juré de ne pas voler, sur le livre saint de votre confession, il suffit d'être très conscient que jurer c'est très grave et comme cela vous ne faites pas de parjure! par ce que voyez la loi c'est les nuances.
Par ce que la caisse c'est un ensemble de billets. On prend celle la et on dépose une autre à la place: c'est pas un vol.
En fait chacun vol à sa manière et cela étant, celui qui vol un regard d'envie sur la femme d'autrui ne doit pas juger celui qui empoche le trésor national. autrement dit chacun doit balayer devant sa porte d'abord.
C'est de la haute philosophie et Dr HIS doit être en transe.
Il est bon cet Albade là!
Ainsi si quelqu'un vous conseille de déposer la caisse attention cela veut dire qu'il veut s'en saisir! arriérés pensées!
Ainsi si la justice vous interpelle prenez Albadé comme avocat.
Puisqu'il y avait une caisse et une autre est à sa place: pas de vol.
Et puis qui a volé qui? le trésor national c'est qui? est ce qu'il peut réellement porter plainte? Donc pas d'accusation!
Et d'ailleurs est ce qu'il y a un article spécifique pour quelqu'un qui échange les caisses du trésor national Hein?
La loi c'est la loi il faut qu'elle soit spécifique. Et puis encore il faut que l'accusateur soit un saint pas un autre voleur!
Surtout que voyez vous ceux qui crient remboursez comme Jarmakoye veulent dire en faite, volez encore! Ainsi ceux qui sont contre le vol ne doivent rien faire sauf si bien sur dès le départ ils avaient des arrières pensées pour d'autres objectifs.vous suivez?
Alors si en plus en génie, la police ou la force publique vous mange dans la main, elle ne peut pas s'opposer au bonheur. Ainsi l'armée a toujours démontré sa loyauté à celui qui la nourrit et qui est aux affaires.
A ceux qui veulent nous troubler dans notre projet ne donnez pas à l'armée l'occasion de cherchez son pain il est avec nous.
Si en talentueux politique vous faites manger les partis politiques, et vous faites passer l'information et la sensibilisation sur les conditions de partages de la prochaine caisse vous arrivez à les diviser et là seules les déclarations favorables seront prises en compte.
La saveur de la démocratie c'est quand il y a les immoraux et les loyaux, les parjures et les fidèles et un régime doit assurer le plein épanouissement à tous.
Enfin le casse d'un trésor publique c'est un risque permanent qu'il faut courir, mais ce n'est pas de l'aventurisme non plus. Il y a nuance!
Il ne faut pas y aller pour se faire prendre, il faut espérer et souhaiter gagner.
Même si on n'est jamais sûr de rien dans ce genre d'entreprises, il faut espérer et être d'un optimisme sans faille et la caisse sera à vous!
Awinnane
Le combat c'est ensemble que nous devons le mener. Le problème de nos potentialités dans le nord et au bord du fleuve et ailleurs est une réalité. Sa mal exploitation est égalment une autre réalité. Il me semble que Dr HIS en a parlé souvent!
pour tes observations pertinentes sur le jeu de mot du dieu ou Démon National Albadé, il n'y a rien à dire sauf qu'à résumer!
"Par ce que la caisse c'est un ensemble de billets. On prend celle la et on dépose une autre à la place: c'est pas un vol." Il est plus juste de dire on prend les bons billets et on les remplace par des faux. C'est ça la vrai image que traduit les propos d'Albadé.
Je le plains, lui et son Président aveugle!
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